Vous n'aimez pas cet arrière plan ? Appuyez sur une de ces icônes ![]() ![]() ![]() ![]() Pour vous donner un avant goût de notre première ascension de Paglia Orba, voici quelques photos parmi mes préférées. Vous retrouverez dans les pages qui suivent ces mêmes images dans leur contexte et bien d'autres d'ailleurs. |
![]() | 2003, Paglia Orba en famille : D'abord la remontée matinale de la vallée du Golo, depuis l'épingle du fer à cheval jusqu'au refuge de Ciottulu di i Mori au pied de Paglia Orba : une balade facile sur le parcours du GR20. Ensuite le sommet par la voie normale : l'itinéraire de rêve dans un environnement vertigineux et somptueux... pour découvrir un panorama à couper le souffle... Enfin le chemin du retour : après les parois vertigineuses, les belles vasques du Golo permettent de se rafraîchir avant de retrouver les pins laricio puis la forêt de Valdu Niellu.
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![]() | 2010, Paglia Orba par les cheminées de Foggiale : Au départ de Ciottulu di i Mori, la montée vers l'Epaule de Foggiale est facile, mais ensuite il faut négocier deux cheminées fort impressionnantes (une corde peut être utile). On retrouve la voie normale vers le sommet peu après la Combe des Chèvres. Le retour vers Ciottulu di i Mori est réalisé par une petite variante de la voie normale qui passe par le col des Maures. Une trace GPS du trajet est proposée en téléchargement. |
Attention, les randonnées telles que décrites dans les pages suivantes sont certes magnifiques, mais ne sont pas faciles ; elles sont à la limite entre randonnée et alpinisme. Depuis la route du col de Verghio, il faut compter quelques 10 heures de marche aller retour, et quelques passages sont un peu délicats (l'utilisation des mains est parfois nécessaire) ou un peu vertigineux, mais heureusement jamais les deux en même temps : une bonne forme et une certaine expérience de la montagne sont donc nécessaires. Quelques informations complétaires sur les difficultées relatives, Capu Tafonatu compris, se trouvent sur cette page. Et surtout, pour monter au sommet, au delà du col des Maures, il faut une météo impeccable pour les 4 heures qui suivent... Cela deviendrait vite une galère dans une couche épaisse de nuages (on risquerait fort de se perdre), sous la pluie (cela doit bien glisser), ne parlons même pas d'orages (foudre sans doute fréquente). |